Charles Despiau (1874-1946) - Lot 125

Lot 125
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Estimation :
10000 - 15000 EUR
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Charles Despiau (1874-1946) - Lot 125
Charles Despiau (1874-1946) Tête de Mme Charles Lindbergh (Anne Spencer Morrow) 1939 Plâtre d’état avec des reprises de l’artiste Signé sur la base du cou au dos " Ch. Despiau " 59 x 20 x 20 cm Ce plâtre pourrait être le modèle original de l’état définitif. Il s’agit peut-être de l’exemplaire qui ap- partenait à la collection Dunoyer de Segonzac. Bibliographie : Elisabeth Lebon, Charles Despiau (1874-1946) - Catalogue raisonné de l’œuvre sculpté, 1995, cat. n°137-7P. Autres exemplaires : • Paris, Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris (AMS.122) • Paris, Musée National d’Art Moderne (AM.1309S) • France, collection Goutal Charles Despiau s’installe à Paris en 1891 pour suivre les cours de l’École Nationale Supérieure des Arts Décoratifs. Il intègre ensuite l’atelier du sculpteur Louis-Ernest Barrias à l’École des Beaux-Arts. Dès les années 1900, Despiau s’intéresse plus particulièrement au portrait. En 1907, Auguste Rodin lui propose de travailler avec lui, ce que Despiau accepte. Dès 1901, Despiau fréquente la « Bande à Schnegg », un groupe de sculpteurs fondé par les frères Lucien et Gaston Schnegg et dont font partie Antoine Bourdelle, Robert Wlérick, François Pompon, Charles Malfray, Jane Poupelet ou encore Yvonne Serruys. Despiau est mobilisé pour la Première Guerre mondiale. De retour de la guerre, Despiau vit dans une grande misère. Grâce à ses amis André Derain, Maurice Vlaminck et André Dunoyer de Segonzac, il retrouve des revenus réguliers. En 1923, il participe à la création du Salon des Tuileries avec Bourdelle, Maillol et des membres de la bande à Schnegg. En 1968, un musée Despiau-Wlérick ouvre ses portes à Mont-de-Marsan, sa ville natale.
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